Nouveau décès tragique d’un officier français en terre afghane, cette semaine. Est-ce un événement ? En d’autres termes, était-il pertinent non pas - bien sûr - de l’évoquer mais de le mettre en exergue comme cela a été, une nouvelle fois, fait par la majorité des medias hexagonaux ?
Nos soldats, les soldats en général, risquent la mort au quotidien, assurément. Bien davantage que des fleuristes, un peu plus que des pompiers, autant que des convoyeurs de fond, sans doute moins que des mineurs de charbon ukrainiens ou chinois. Quelle est donc cette ère cotonneuse où la mort, dramatisée, marginalisée, se retrouve quasi rayée de l’horizon des possibles occidentaux ?
Nos soldats, les soldats en général, risquent la mort au quotidien, assurément. Bien davantage que des fleuristes, un peu plus que des pompiers, autant que des convoyeurs de fond, sans doute moins que des mineurs de charbon ukrainiens ou chinois. Quelle est donc cette ère cotonneuse où la mort, dramatisée, marginalisée, se retrouve quasi rayée de l’horizon des possibles occidentaux ?
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